Après vous avoir donné mon analyse sur le fait que le D300s aura bien un remplaçant dans son budget (1800€ prix public) et pourquoi je pense qu’il sera DX, je vais le livrer à l’exercice très casse gueule de « A quoi il va ressembler ? »
Allez, place à la conjecture… et à la chausse trape !
Je buzz sur le D7000 sur le web est énorme. Je n’ai pas souvenir qu’une annonce de boitier ait fait un tel raz de marrée , en tout cas, pas depuis que je m’intéresse à la chose. Inévitablement, plein de monde spécule sur le futur de la gamme Nikon et comme d’habitude, avec des « analyses » parfois crédibles, parfois quelque peu abracadabrantesques… A mon tour de spéculer alors 
Les rumeurs se font pressantes, comme quoi le D5000 aurait vu sa production stoppée. Du coup les rumeurs vont bon train, comme d’habitude, du plausible au farfelu en passant par un abandon pur et simple du créneau.
Mon analyse
Tôru Uemastu, le directeur marketing de Nikon pour l’europe, vient de donner une interview à l’occasion de la Photokina.
Je trouve que cette interview recelle de petites infos distillées « à la japonaise » tout en finesse… morceaux choisis et décryptage
Comme je l’ai posté récemment, le D400 devra innover pour se démarquer du D7000. Depuis plusieurs années, Nikon se démarque par une recherche très forte dans le domaine de la sensibilité, préférant la course aux hautes sensibilité à celle des pixels.
Bien entendu, pour des raison de marché et de fournisseurs, les nouveaux boitiers disposent de plus de pixels que les anciens, mais de moins que les concurrents. La raison, c’est que pour travailler sur la sensibilité, il faut être capable de bien distinguer le bruit dans le signal fourni par le capteur, pour le traiter efficacement.
Or, la photokina vient de mettre en avant un acteur important sur ce domaine, constructeur de capteurs cmos APS-C dont le principal argument avancé est la dynamique, il s’agit d’Aptina.
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Pour faire suite à mon précédent billet, voilà mon analyse de ce que pourrait être le D400 (quel que soit son nom) pour remplacer le D300s.
Comme je l’ai dit l’autre jour, Nikon se doit d’innover, d’une part pour monter en gamme, d’autre part pour se démarquer du D7000 et surtout, pour justifier le prix.
Les pistes classiques (af, mesure de lumière, pixels ou viseur) sont difficiles, car le D7000 est déjà au top sur ces points. il faut donc travailler sur d’autres pistes, voilà lesquelles selon moi.
La photokina bat son plein, les annonces sont tombées. D3100 et D7000, une grosse mise à jour et un énorme pavé dans la mare.
Le D7000 fait parler, non seulement parceque sa fiche technique est impressionnante, mais aussi (surtout ?) parcequ’il marche sur les plates-bandes du D300s… Viseur 100%, obturateur 8000e et validé sur 150K cycles, rafale… trop de choses trop proche de l’actuel D300s pour ne pas poser la question : Et si Nikon abandonnait le créneau DX semi-pro ?
Il me parait logique que la question soit posée… mais je ne pense pas que ce soit le cas…
Ca y est. Après de longs mois d’attente et de discussions sur les forums, Nikon vient d’annoncer le remplaçant du D90…
… et c’est une bombe !
Après avoir pas mal cherché, j’ai validé un workflow que je présente là. Comme tous les flux de travail, il change régulièrement, mais après 3 ans d’amélioration et de questions/réponses, j’ai un workflow qui me va bien.
Depuis l’avènement de la photo numérique, les constructeurs n’ont cessé d’inventer de nouveaux concepts, afin de chercher à adresser au mieux, avec le produit le plus adapté possible, les différents profils d’utilisateurs existants ou apparaissants.Dernier concept en date, les « systèmes compacts »
Qu’est-ce qu’on trouve derrière ce terme ?
Au départ, une idée simple : pour faire de belles photos il faut un grand capteur (pas des pixels, contrairement aux idées reçues) et pour en faire facilement, il faut un petit appareil.